Benoit Péribère s’ouvre à l’art dès l’adolescence. Il se passionne pour les Surréalistes. Il peint, il crée des paysages en plâtre pour organiser des scénographies imaginaires.
Mais à 18 ans il est détourné de ses rêves d’artiste pour mener une carrière en entreprise (oui tout le monde ne résiste pas à la pression parentale !).
Créatif, avec une pensée parfois décalée, il a souvent été considéré par ses collègues comme un « artiste ».
N’ayant jamais arrêté de « créer », à 50 ans il a orienté ses activités professionnelles vers les métiers et les galeries d’art et s’est donné le temps d’avoir une véritable activité de sculpteur. Ce n’est que récemment qu’il a décidé d’être plus actif pour présenter ses sculptures.
Il est membre de la Maison des Artistes.
Pour quoi faire ?
Son travail est tout orienté vers l’humanisme, les relations interpersonnelles, mais aussi l’exploration des questions métaphysiques comme le temps qui passe, le questionnement personnel. Cela peut raconter une histoire, une inquiétude, ou susciter un questionnement ou simplement une vision décalée de la vie.
Il part tantôt d’un concept, tantôt de la matière, mais son objectif est toujours de créer du nouveau, ce qui conduit à une extrême variété des types d’oeuvres.
Les techniques sont variées, le métal, le ciment, la terre, le bois, la pâte à papier, ...
Où ?
Il a exposé, choisi par des commissaires ou galeristes, à l’abbaye de Lehon (Dinan) par Marie Annick Lorillon, sur l’Ile du Cygne à Andrésy par Pierre Bongiovanni, à la galerie Aroa (Neuilly) par Marie Claude Le Floch, à Courbevoie, à Montreuil à l’Atelier Paul Flury, à Ivry sur Seine, à la galerie Barissardo à La Ciotat, etc
Ses sculptures monumentales se trouvent en Bretagne à St Malo, en Meuse dans un château de Bar le Duc, dans des parcs de sculpture privés dans le Loiret, dans le Var et à Uzès, Mais aussi chez des particuliers à Aix en Provence, à Neuilly sur Seine, à Paris, etc.
